Les actualités


bon... jour.... bien... venu.......

Écrit par Carmen   
Vendredi, 10 Août 2012 20:57

Dans la caverne de notre Cœur abrite Ce qui nous fait vivre…

Parfois une vibration remonte à la surface de notre corps..

Elle vient pour nous dire qu’il ne faut pas oublier de faire l’intense expérience qui doit nous mener à la délivrance dans la vie.

Lorsque la Réalité infinie frappe à la porte de notre cœur sous forme de vibration,

nous devons l’écouter.

Elle nous parle de Vérité, d’Amour, de Foi, de Confiance ….

C’est notre dimension spirituelle qui correspond à nos sentiments, à nos sensations, à nos pensées intuitives.

Nous oublions souvent cette dimension essentielle à l’humain et

nos expériences  de vie nous obligent à la retrouver.

Voir avec le cœur nous permet de découvrir une nouvelle vision des choses…

il n’est plus question de voir l’aspect matériel des choses mais d’y voir leur dimension spirituelle !

Comprendre que notre existence est reliée à la connaissance vraie et

que notre cœur nous parle de la beauté du monde qui nous entoure,

de l’unité des êtres, de la connaissance du sacré !

J’aime cette image du cœur figurée comme Oiseau de Lumière…

une idée de légèreté, de luminosité, d’ouverture verticale, d’envol vers l’Absolu…

L’énergie primordiale envahit l’espace lumineux et sacré de notre cœur.

La porte s’ouvre pour laisser s’échapper l’océan céleste,

une vague d’énergie qui éveille notre conscience.

Ceux qui vivent dans l’agitation, avec des tensions qui étreignent leur cœur

ne sont pas au diapason et se sont éloignés de la caverne de leur cœur.

Grâce à la pratique du yoga, de la méditation,de la prière,

des sentiments positifs comme l’amour, la joie, l’harmonie, la paix….

nous guident vers le chemin intérieur qui mène au cœur.

Alors il nous sera possible d’entendre la vibration de la porte qui s’ouvre

et qui laisse le passage à cet océan d’amour,

à l’oiseau de lumière qui vient chuchoter à notre oreille

pour nous dire qui nous sommes vraiment…

 

Carmen SALA (le cœur dans la pensée indienne)

 

Mise à jour le Vendredi, 10 Août 2012 21:42
 

L'Hindouisme (1/9) - Les origines

Écrit par maratray.chez-alice.fr/religions/religions.htm   
Mercredi, 18 Juillet 2012 14:20

Les origines

L'origine de l'Hindouisme remonte au IIIème millénaire avant notre ère lorsque les civilisations de Mahehjô-Darô et Harappâ prospéraient dans les vallées fertiles de l'Indus. Le mot hindou provient de Sindhu, mot persan désignant le fleuve Indus. Ce n'est qu'au cours des derniers siècles qu'il prend une signification plus vaste pour ceux qui croient en Sanâtana-dharma. Ce nom sanscrit peut se traduire par "parfaite loi éternelle", parfaite parce qu'elle englobe la vérité de la vie sous tous ces aspects, éternelle et "non créée" dans la mesure où l'Hindouisme est une religion sans fondateur.
La pensée philosophique hindoue est caractérisée par la croyance en une âme universelle, le principe du Brahman. Non créé, sans limite, universel et éternel, brahman représente l'ultime réalité, l'essence subtile qui est à la source de l'univers et qui constitue en même temps, le tréfonds du soi, ou âme (atman), de chaque individu. Dans la religion védique, plus ancienne, le terme brahman désignait diverses formes de pouvoir sacré s'exprimant au travers du rituel. Les spéculations sur la nature de ce pouvoir sacré conduisaient à contempler les connexions reliant les éléments du rituel, à la fois au macrocosme de la nature externe, et au microcosme de la vie intérieure de l'individu. De telles introspections aboutirent à la croyance en une entité unique (Brahman) générant toute existence et animant tous les êtres vivants.
L'homme hindou est enfermé dans un cycle continuel de réincarnations dû au karma. Cette théorie du karma est sous tendue par l'idée de l'immortalité de l'âme. L'homme ne peut se libérer de ce cycle qu'en atteignant la sagesse suprême à l'issue d'un long apprentissage. Acquérir cette connaissance libératrice, c'est plonger dans la vision de sa propre immortalité (Amrta). Le but ultime de l'hindou est de se délivrer du cycle infini de la vie et de la mort et du cortège de souffrances qui accompagnent ces multiples existences.
La roue de la vie est un symbole clé de l'Hindouisme. Elle représente le cours du temps, elle incarne les cycles cosmiques de la naissance et de la mort, de la création, de la maturité, de la dégradation et de la déliquescence puis de le réincarnation.
La libération spirituelle (Moksha) est le but suprême de l'hindou. L'identification de l'âme individuelle (Atman) avec l'âme universelle (Brahman) conduit l'individu à se libérer des attachements, des désirs et de l'ignorance ainsi que du cycle de la renaissance (Samsâra).
L'hindouisme est une religion qui se présente sous les aspects les plus divers qui vont de l'adoration des divinités de la nature et du polythéisme, au monothéisme le plus exigeant et à la croyance en une loi universelle qui régnerait sur tous et sur tout (Dharma," l'ordre du monde") sur les plans cosmique, social, religieux... Il est étroitement lié aux structures sociales par les castes et se trouve très attaché aux rites fortement ancrés du sacrifice.
L'Hindouisme est caractérisé par le concept de cause à effet, le Karma, par son cycle de renaissances et par les âges cosmiques, les Yugas.

L'origine de l'Hindouisme remonte au IIIème millénaire avant notre ère lorsque les civilisations de Mahehjô-Darô et Harappâ prospéraient dans les vallées fertiles de l'Indus. Le mot hindou provient de Sindhu, mot persan désignant le fleuve Indus. Ce n'est qu'au cours des derniers siècles qu'il prend une signification plus vaste pour ceux qui croient en Sanâtana-dharma. Ce nom sanscrit peut se traduire par "parfaite loi éternelle", parfaite parce qu'elle englobe la vérité de la vie sous tous ces aspects, éternelle et "non créée" dans la mesure où l'Hindouisme est une religion sans fondateur.

Mise à jour le Samedi, 11 Août 2012 22:31
Lire la suite...
 

L'Hindouisme (2/9) - Les textes

Écrit par maratray.chez-alice.fr/religions/religions.htm   
Mercredi, 18 Juillet 2012 14:57

Les textes

La littérature sacrée de l'Inde comprend deux grandes catégories de textes :

La Shruti qui signifie "entendre".
La Smriti qui signifie "mémoire".
Page manuscrite du Rig-Veda datant du XVème siècle.
Dans la première catégorie, Shruti, se trouve les plus anciens et les plus vénérés des textes hindous. Des Vedas composés par les Aryens furent transmit oralement. Ce n'est pas seulement le contenu des textes qui est sacré, ce sont aussi les sons produits par les mots eux même. On leur prête une origine divine et ils contiennent les vérités éternelles de l'univers révélés aux Rishi (les voyants) et aux sages. Pratiquement incompréhensibles par le peuple, ils sont réservés aux lettrés et à ceux qui ont reçu une initiation, c'est à dire les Brahmanes.
Les Vedas sont organisés en 4 recueils:
Le Rig-Veda qui contient plus de 1000 hymnes à la gloire des 33 dieux et relate les rituels qui leur sont associés.
Le Sâma-Veda met en musique les vers du Rig-Veda qui devaient être chantés lors des rites sacrificiels.
Le Yajur-Veda qui contient les formules versifiées par les prêtres qui officiaient lors du sacrifice.
L'Atharva-Veda qui est un recueil de charmes et d'incantations.
Chacun des 4 Veda contient des textes supplémentaires:
Les Brâhmanas riches en récits et contes ainsi qu'en discussions techniques relatives aux rites sacrificiels.
Les Aranyakas recèlent des formules rituelles plus ésotériques à destination des individus spirituellement évolués.
Les Upanishads se consacrent aux problèmes du soi et de sa relation avec le cosmos.
Un maître lit les saintes écritures. La tradition orale joue un rôle important en Inde.
La Smriti c'est ce dont on se souvient et qui a été transmis de génération en génération. Elle comprend 3 parties:
Le Mahâbhârata est le plus long et le plus complexe des récits épiques de l'Inde. Les paraboles, poésies et essais didactiques qu'il renferme couvrent une variété de sujets, l'histoire, l'art de gouverner, le droit civil, l'éthique, les lois religieuses, le rituel et la cosmologie, tous entremêlés dans un récit relatant la guerre tumultueuse opposant deux dynasties qui partagent la même ascendance. Le passage le plus connu est la Bhagavad-Gîtâ qui prêche le renoncement au fruit de l'acte et la dévotion à Dieu. Ce sont les chemins menant à la liberté spirituelle. Comme méditation dévotionnelle, la Gîtâ est récitée quotidiennement par de nombreux hindoux.
Manuscrit de la Bhagavad-Gîtâ du XIXème siècle.
Le Râmâyana ou geste de Râma. C'est un poème de 24000 strophes qui a pour origine une ballade héroïque relatant les aventures de Râma prince du royaume d'Ayodhyâ. Ce récit épique du triomphe du bien sur le mal est traditionnellement attribué au sage Vâlmîki. A la fois divertissant et didactique, ce texte est devenu l'objet de la dévotion spirituelle des adeptes de Vishnu vénérant Râma un avatar de Vishnu. La croyance veut que Vishnu ait été réincarné sous la forme de Râma afin de détruire les forces du mal, représentées par le démon Râvana, et de restaurer l'harmonie.
Une troupe intertrète sous la forme d'une représentation théâtrale un épisode du Râmâyana. Ces représentations sont très courantes en Inde et en Asie du sud-est.
Les Purânas sont de volumineux textes en vers qui contiennent un grand nombre de récits mais imputent la création à l'une des déités suprêmes en particulier Shiva, Vishnu ou la Déesse.
Les textes hindous regorgent de spéculations variées et imaginatives sur le processus de la création. Selon l'un des mythes de la création, le monde est né du démembrement de l' "homme cosmique". Selon au autre la création dérive d'un œuf cosmique. Un troisième l'attribue à un rêve de Brahmâ (dieu créateur). Un quatrième relate comment les larmes du démiurge Prajâpati sont à l'origine de la création du monde.

La Shruti qui signifie "entendre".

La Smriti qui signifie "mémoire".

page manuscrite

Page manuscrite du Rig-Veda datant du XVème siècle.

Mise à jour le Samedi, 11 Août 2012 22:22
Lire la suite...
 

L'Hindouisme (3/9) -Les voies du salut

Écrit par maratray.chez-alice.fr/religions/religions.htm   
Mercredi, 18 Juillet 2012 15:51

 

Les voies du salut
Deux grandes visions du monde présentes dans l'Hindouisme déterminent les voies envisageables.
La première, l'âme humaine (atman) est identique à la réalité suprême brahman, aussi la délivrance intervient au moment où nous parvenons à réaliser notre nature divine. Cette vision du monde met l'accent sur l'importance des efforts que l'homme doit accomplir pour acquérir la sagesse nécessaire à cette transformation.
La seconde vision du monde s'exprime dans les écoles qui évoquent une distinction ultime, si faible soit elle entre l'homme et dieu. Les tenants de cette vision recommandent la dévotion à la réalité suprême et la confiance en la grâce de Dieu.
Trois types de chemin spirituel sont décrits comme représentatifs des manières par lesquelles l'être humain recherche le divin.
Jnâna-mârga: Le chemin de la connaissance, on concentre son esprit et ses pensées sur la connaissance du vrai soi.
Karma-mârga : Le chemin de l'action, on consacre ses actes et son dévouement à Dieu.
Bhakti-mârga : Le chemin de la dévotion, qui implique le don total de soi à Dieu, voie qui grâce aux sens et aux émotions permet de connaître et de faire l'expérience de Dieu.
La pratique du yoga.
Ces trois voies (mârgas) connues aussi sous le nom de disciplines (yogas) sont recommandées par Krishna et la Bhagavad-Gîta. Yoga dans ce cas désigne la philosophie classique exposée dans le Yoga-Sûtra, un ancien texte de référence attribué au sage Patañjali, présentant la concentration mentale comme un chemin menant à la libération spirituelle. Le Yoga-Sûtra décrit différents degrés d'accomplissement, tels que la lévitation et la voyance, mais avertit que ce peut être là de dangereuses déviations. L'ultime but n'est pas d'avoir un pouvoir sur les choses mais d'avoir le pouvoir d'échapper tout à fait au monde et à la nécessité de la renaissance.
Les fêtes hindoues.
Divali: Le nouvel et la fête des lumières. Lakshmi, déesse de la bonne fortune, visite les maison éclairées.
Holi: Fête du printemps dédiée à Krishna. A l'origine c'était la fête de la fertilité.
Dasara: Fête de 10 jours en l'honneur de Kali.
Il existe de nombreuses autres fêtes locales dédiées à de grands dieux comme Shiva mais également à des dieux locaux.

Les voies du salut

Deux grandes visions du monde présentes dans l'Hindouisme déterminent les voies envisageables.

La première, l'âme humaine (atman) est identique à la réalité suprême brahman, aussi la délivrance intervient au moment où nous parvenons à réaliser notre nature divine. Cette vision du monde met l'accent sur l'importance des efforts que l'homme doit accomplir pour acquérir la sagesse nécessaire à cette transformation.

Mise à jour le Samedi, 11 Août 2012 22:23
Lire la suite...
 

L'Hindouisme (4/9) -Manifestations du divin

Écrit par maratray.chez-alice.fr/religions/religions.htm   
Mercredi, 18 Juillet 2012 16:04

 

Manifestations du divin
Selon la loi indienne, le mot hindou englobe des personnes appartenant à des courants religieux théologiquement distincts de l'Hindouisme. On l'utilise pour désigner tout habitant de l'Inde qui accepte la tradition hindoue. L'Hindouisme est il une religion, une culture ou un mode de vie ? Les trois propositions sont exactes. La distinction entre les domaines sacré et profane que l'on opère souvent en occident ne saurait s'appliquer aux traditions hindoues.
De nombreux textes et pratiques sacrés indiquent au fidèle des parcours spirituels pour le délivrer du cycle des réincarnations, mais par d'autres aspects, le mode de vie et les rituels semblent plutôt représenter pour les adeptes un moyen d'améliorer la qualité de la vie. En effet diverses activités se rattachent au domaine religieux : La plantation des arbres, le chant, la danse, la médecine, le tir à l'arc, l'astrologie, la sculpture, l'architecture, la construction d'une maison… Dans l'Hindouisme pratiquement tout est sacré. Depuis la vénération de la Terre Mère jusqu'au culte de la vache sacrée, les hindous reconnaissent la sainteté de la nature et la divinité fait partie intégrante de ce monde. Elle existe dans les rochers, les rivières, les montagnes et les grottes, les plantes et les arbres. D'autres éléments naturels sont vénérés comme des manifestations spontanées du divin. Certaines plantes sont honorées car elles sont associées à certains dieux, tel le tulasî (basilic sacré) identifié à Vishnu. Cette sacralisation de la quasi totalité des montagnes, fleuves ou plaines de l'Inde a engendré la pratique du pèlerinage et des millions d'hindous sillonnent l'Inde pour se rendre en ces lieux sacrés nommés tîrthas (gué de passage) car ce sont des lieux où les hommes peuvent passer des préoccupations terrestres de la vie à une expérience transcendantale. La plupart des pèlerins viennent saisir darshana; l'expérience de la grâce et de l'amour de Dieu acquise en voyant l'image de dieu et en étant vu d'elle.
Pélerins arrivant en bateau dans la cité sacrée de Vârânasi afin de s'immerger dans le fleuve sacré.
Ces tîrthas sont à l'intersection du temps cosmique et du temps historique, là où la distinction entre le transcendant et le terrestre est trouble, donnant à l'individu la possibilité d'entrevoir la pureté et la joie sereine du divin. Le divin se manifeste aussi au travers de l'imagination humaine donnant naissance à une foule d'images anthropomorphes dotées de multiples bras ou têtes symbolisant leurs pouvoirs surhumains. Tout est touché par le sacré, jusqu'aux êtres démoniaques de la mythologie hindoue. Les démons sont doués de pouvoirs surhumains mais maudits par des personnalités inhumaines symbolisées par leurs traits grotesques. Le mal est conçu comme une partie de la nature pouvant bouleverser le monde des hommes et des dieux. Le but est de vaincre par une conduite empreinte de dharma.
La notion hindoue de "trinité" (Trimûrti: triade constituée de trois divinités ou de trois aspects d'une même divinité) illustre la continuité dans le changement qui constitue un concept clé de cette religion. La triade hindouiste fondamentale se compose de:
Brahma le créateur, bien qu'il soit sans forme et sans qualité parce que plus universel et infini se manifeste sous forme de divinités personnifiées facilitant son accessibilité au commun des mortels. Il est représenté avec 4 visages qui sont les 4 Vedas, 4 bras désignant les 4 directions de l'univers. On lui attribue un rosaire qui contrôle le temps, un livre qui contient tout le savoir du monde et un vase à bec qui rappelle les eaux de la création. Son épouse est Sarasvati déesse des arts et de la connaissance.
Vishnu et ses avatars.
Vishnu le conservateur. Il est souvent représenté sous la forme de l'un des 10 grands avatars que lui prête la tradition. Son épouse est Lakshmi déesse de la beauté et de la fortune.
Shiva dansant.
Shiva le destructeur-régénérateur souvent représenté sous la forme de Nâtaraja ou danseur cosmique de la mouvance de l'univers. Son épouse est Durga déesse multiforme vénérée aussi sous les noms de Kali ou de Parvati.
Peinture montrant la victoire de Durga sur l'armée des démons aidée par Kali "La noire" manifestation de la Déesse émanant de la colère de Durga.
L'idée d'une Déesse mère trouve son épanouissement dans la notion de Shakti, énergie féminine et principe actif propre à toutes les divinités. Plus un dieu est puissant, plus sa Shakti l'est aussi. Sarasvati, Lakshmi et Durga sont les Shakti de Brahma, Vishnu et Shiva.
Vénération de Ganesh, ou Ganesha qui passe pour être le fils de Shiva. C'est l'une des divinités les plus populaires de l'Hindouisme. Son père lui a conféré le pouvoir d'exaucer les voeux des hommes qui s'adressent à lui. Il se présente sous des traits humains avec un nez en forme de trompe d'éléphant et une seule défense.

Manifestations du divin

Selon la loi indienne, le mot hindou englobe des personnes appartenant à des courants religieux théologiquement distincts de l'Hindouisme. On l'utilise pour désigner tout habitant de l'Inde qui accepte la tradition hindoue. L'Hindouisme est il une religion, une culture ou un mode de vie ? Les trois propositions sont exactes. La distinction entre les domaines sacrés et profanes que l'on opère souvent en occident ne saurait s'appliquer aux traditions hindoues.

Mise à jour le Samedi, 11 Août 2012 22:23
Lire la suite...
 
«DébutPréc12345678910SuivantFin»

Page 9 de 10